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Le projet SWIOCeph permet d'accompagner les communautés de pêcheurs de poulpe dans le sud-ouest de l'Océan Indien vers des pratiques de pêche plus durables.

Pourquoi créer ce projet ?

Le poulpe est une ressource traditionnellement pêchée par les communautés dans l'Océan Indien et représente à la fois une source de protéine et de revenus. Un intérêt croissant pour le poulpe crée un fort potentiel pour l'exportation du poulpe et mène à le nombreuses opportunités commerciales. La mise en place de pratiques de pêche durables permettra à des pêcheries d'accéder à des bénéfices sociaux, environnementaux et économiques sur le long-terme. 

Le projet SWIOCeph permet de créer de nouvelles collaborations entre les parties prenantes du projet qui souhaitent accompagner les communautés dans leur transformation.

 

Où le projet se déroule-t-il ?

Map showing South Africa, Mozambique, Tanzania and Southwest Indian Ocean islands, with octopus icons.

Comment le projet fonctionne-t-il ?

En réunissant des informations et en collectant des données sur les pratiques de pêche, les débarquements et les échanges commerciaux du poulpe, le projet pourra atteindre une meilleure compréhension des pêcheries de poulpe dans la région Sud-Ouest de l'Océan Indien.

Le projet utilisera ensuite le processus d'évaluation MSC Pêche Durable, un cahier des charges reconnu au niveau mondial pour analyser la  durabilité d'une pêcherie, afin d'évaluer les performances de la pêcherie et fixer des axes d'améliorations prioritaires dans les pêcheries de poulpe sélectionnées dans le projet.

La troisième étape du projet impliquera les parties prenantes afin d'établir en coopération avec elles des plans d'action pour les pêcheries sélectionnées, un des objectifs étant la certification MSC de ces pêcheries.

Les étapes du projet SWIOCeph

 

Qui participe au projet ?

Le projet SWIOCeph a été créé par le MSC avec le groupe de conservation Blue Ventures, le German Corporation for International Cooperation (Deutsche Gesselschaft für Internationale Zusammenarbeit, GiZ) et le African Union Interafrican Bureau for Animal Resources (AU-IBAR).

Le MSC et AU-IBAR soutiennent financièrement le lancement du projet et permettent ainsi l'organisation d'ateliers et de formations de renforcement des capacités. Le financement des étapes n°1 et 2 a été assuré par GiZ.